En version aventurine bleue ou opalin argenté, ce modèle à complication entretient la magie exercée par les astres et le passage du Temps. 

C’est l’heure la plus rare, l’instant de tous les possibles : celle où la Lune rejoint le Soleil. Célébrée par les artistes, envoûtant les astronomes, cette rencontre des planètes n’est pas sans évoquer les origines de l’horlogerie, mais aussi de la géographie, lorsque le passage du Temps et la mesure de l’Espace se lisaient dans les étoiles. 

Né au Siècle des Lumières et de l’Encyclopédie, Jaquet Droz est toujours resté profondément sensible à l’approche poétique de l’univers du grand siècle. Les avancées horlogères et la signature esthétique de la marque aux deux étoiles en sont le plus fidèle témoignage. Introduite en 2010 par les artisans de La Chaux-de-Fonds, l’Éclipse reparaît cette année avec deux modèles au visage épuré, travaillés en aventurine sertie dans son format 39 mm et en opalin gris pour le 43 mm. 

Deux visages pour un même esprit, incarné dans le bel équilibre des lignes, le jeu des aiguilles lancines et serpentines, l’ordonnancement des indicateurs en chiffres romains et les sept étoiles encadrant la Lune – huit astres au total, chiffre emblématique dans l’histoire de Jaquet Droz. Souriant, l’astre symbolique de la Nuit a été conçu comme un visage bienveillant, jouant à cache-cache suivant les phases de la Lune. 

Derrière leur apparente simplicité, ces deux nouvelles versions de l’Éclipse cachent leurs complications : indication des phases de Lune, mais aussi du jour, du mois et de la date. La nouvelle masse oscillante ajourée, le décor Côtes de Genève sont à admirer au revers de ces garde-temps équipés d’un spiral en silicium, et dont les ponts plats vont de pair avec le traitement au rhodium et la gravure de l’ensemble des composants. Majestueuses et poétiques, ces deux versions de l’Éclipse font le choix d’un boîtier tout acier, à la lunette habillée de 176 diamants taille brillants dans la version 39 millimètres. Ces deux nouvelles montres savent comme aucune autre marier l’ombre de la nuit à la lumière du jour. Une manière ingénieuse de renouveler l’art de questionner le temps, sans jamais oublier d’en prendre la mesure, très précisément, le jour comme la nuit…